Florestan

 

Ecoute :

3/4, Sol mineur, jamais affirmé, mais évident.

Entrée dans le vif.
Les quatre premières notes sont énoncées d’emblée.
Passionato qui contraste avec l’adagio sotto voce.

Premier mineur du recueil, mais on se trouve très vite en si bémol majeur, ton relatif.

Puis après 8 mesures, un adagio, avec l’amorce d’un nouveau thème : celui des Papillons op. 2 !

Le thème n’aboutit pas, car le début revient, puis à nouveau ce Papillons qui aboutit cette fois.


ABA puis coda en rinforzando piu. Florestan s’entête, il répète à merci ce qu’il veut faire admettre, et ne prend même pas la peine de conclure son crescendo final. En fait, sans faire attention aux titres, le morceau suivant, Coquette, semble être la conclusion de Florestan. On y voit bien ici le sens de l’œuvre, qui ne peut être écoutée comme de la musique pure. Il y a une logique de discours entre les pièces.
Mais Coquette n’est pas au programme du Bac.